Bonjour à tous,
J'ai décidé de lancer ce sujet sur la philosophie, pour nous changer les idées et nous faire apprendre d'autres choses plus instructives ...
Voila une brève introduction du sujet ...
Maryse Emel, professeure de philosophie ... mes cours de philosophie dans l'ordre de mes pensées
En fait j'étudie la philosophie depuis bien 3/4 ans, j'avais commencé par Raymond Aron et la je suis sur Spinoza.
Sinon j'écris aussi et tous mes écris sont notés sur mon ordi et mes pensées sont un exemple de mes écris.
J'ai décidé de lancer ce sujet sur la philosophie, pour nous changer les idées et nous faire apprendre d'autres choses plus instructives ...
Assurément, si on se place sur le terrain des finalités utilitaires, la philosophie ne sert à rien...Mais ne serait-ce pas là paradoxalement sa raison d'être? Si par hasard vivre dangereusement était depuis toujours sa vocation(...). L'antiphilosophie risque, par sa stérilisation et le tarissement à la source, de fabriquer une génération d'abrutis manipulables et parfaitement dociles, incapables non seulement de réagir, mais de comprendre l'enjeu. Ils ne sauront même plus ce qu'il s'agit de préserver(...). (V.Jankelevitch).
Philosopher c'est examiner ses certitudes, vérifier si elles sont vraiment fondées et mettre en oeuvre un travail de fondement rationnel et de justification afin de ne pas en rester à des certitudes dogmatiques à la limite parfois du préjugé. ( Maryse Emel, professeure de philosophie en FAC sur Paris).
L’esprit qui s’est accoutumé à la liberté et à l’impartialité de la contemplation philosophique, conservera quelque chose de cette liberté et de cette impartialité dans le monde de l’action et de l’émotion; il verra dans ses désirs et dans ses buts les parties d’un tout, et il les regardera avec détachement comme les fragments infinitésimaux d’un monde qui ne peut être affecté par les préoccupations d’un seul être humain. L’impartialité qui, dans la contemplation, naît d’un désir désintéressé de la vérité, procède de cette même qualité de l’esprit qui, à l’action, joint la justice, et qui, dans la vie affective, apporte un amour universel destiné à tous et non pas seulement à ceux qui sont jugés utiles ou dignes d’admiration. Ainsi, la contemplation philosophique exalte les objets de notre pensée, et elle ennoblit les objets de nos actes et de notre affection ; elle fait de nous des citoyens de l’univers et non pas seulement des citoyens d’une ville forteresse en guerre avec le reste du monde. C’est dans cette citoyenneté de l’univers que résident la véritable et constante liberté humaine et la libération d’une servitude faite d’espérances mesquines et de pauvres craintes. ( Maryse Emel, professeure de philosophie en FAC sur Paris).
Maryse Emel, professeure de philosophie ... mes cours de philosophie dans l'ordre de mes pensées
Pour moi toutes choses à un début et une fin ...
Mais si l'on considère l'infini, en partant de mes propres pensés, ce serait une chose illogique ...
Et donc l'on est en droit de ce poser la question suivante : Ce pourrait-il que l'homme soit encore loin de sa maturité pour arriver à comprendre que l'infini n'existe pas mais qu'en fait il y a forcément une fin à toutes choses, et donc dans sa grandeur de vouloir être le créateur ne serait il pas possible que l'homme refuse simplement de prendre conscience que le temps à aussi une fin et qu'un jour tout sera fini ?! (Gilles DORENLOT ou Andromede33)
Mais si l'on considère l'infini, en partant de mes propres pensés, ce serait une chose illogique ...
Et donc l'on est en droit de ce poser la question suivante : Ce pourrait-il que l'homme soit encore loin de sa maturité pour arriver à comprendre que l'infini n'existe pas mais qu'en fait il y a forcément une fin à toutes choses, et donc dans sa grandeur de vouloir être le créateur ne serait il pas possible que l'homme refuse simplement de prendre conscience que le temps à aussi une fin et qu'un jour tout sera fini ?! (Gilles DORENLOT ou Andromede33)
Sinon j'écris aussi et tous mes écris sont notés sur mon ordi et mes pensées sont un exemple de mes écris.
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