Inutile de vous donner d'exemple, il y en a pléthore.
Un soft sous licence qui, bien entendu, dispose strictement des mêmes fonctionnalités qu'un autre logiciel libre, pèsera toujours plus lourd, et bien souvent même anormalement lourd.
Note : ceci apportant donc son lot de travers :
- lenteur de téléchargement du logiciel
- lenteur et récurrences plus élevées des mises à jour
- lenteur d'exécution au démarrage
- risques de bugs plus élevés (more codes lines, more bugs)
- etc.
Pourquoi ?
Je pose ici la question aux développeurs aguerris qui ont déjà réalisé un soft digne de ce nom, GUI incluse, et qui ont pu comparer avec une équivalence en non libre, et, si possible, qui ont déjà travaillé dans une société d'édition de logiciels.
C'est bien souvent double ou triple, voire même décuplé (*10).
NOTE : Arrêtez ici la lecture si vous souhaitez donner votre avis AVANT d'avoir connu le mien. Ca pourrit biaiser le vôtre, ce qui ne serait pas très intéressant !
Selon moi, plusieurs raisons à cela :
- les softs sous licence sont développés par de multiples intervenants. Trop. Chaque soft est séparé en plusieurs équipes, elles-mêmes composées de dizaines de développeurs, ce qui fait qu'il y a de facto des mauvaises interprétations dans la lecture du code et donc des rafistolages hasardeux avec pour unique but : que ça fonctionne.
Note : je pense que cet argument est peu valable car il pourrait également s'adapter au dév en open source.
- la compétence moindre des développeurs sous licence. Ils ont leurs horaires de bureau, leurs salaires, ne vont pas chercher à se surpasser pour améliorer la qualité du code. Il peut y avoir également pas mal de stagiaires sur le coup ou de débutants.
Note : argument peu valable car il y en a beaucoup qui sont très bien payés et qui sont fort compétents. De plus, le contrôle des spécifications / contrôle qualité, est plus ferme que dans l'open source. Il y a donc des gardes-fous.
- les nombreux appels aux serveurs : afin de grappiller un maximum d'informations clients (à revendre à des fins publicitaires ou statistiques pour mieux cibler les utilisateurs), de nombreuses informations sont envoyées vers les serveurs de la société éditrice. Cela nécessite plus de code et n'est pas fait dans l'open source.
Note : cependant je ne vois pas en quoi des appels serveurs et des fichiers éclatés un peu partout dans l'arborescence système des utilisateurs pourraient peser tant que cela.
- la GUI est souvent de meilleure qualité : qui dit de meilleure qualité dit plus lourde.
Note : là je ne vois pas de réel contre-argument, cela dit, en général les softs sont composés de quelques pictos, je ne vois pas en quoi cela puisse radicalement (décupler) changer le poids du soft.
- la nécessité d'obfuscation : afin d'éviter de se faire cracker, ils obfusquent leur code. Quelle proportion tiennent les lignes de codes inutiles dans la globalité du logiciel sous licence ?
Note : 9/10e me paraît aberrant. Il est bien logique qu'ils fassent appel à ces techniques mais de là à ce que ça en arrive à décupler le poids ça me paraît contre-performant, surtout en sachant que les softs finissent toujours par être crackés, et ce souvent très très rapidement.
- DRM : idem que pour l'obfuscation, ça me paraît logique que les sociétés d'édition y fassent appel.
Note : mêmes arguments que pour l'obfuscation.
- etc.
Nota bene : bien souvent, les softs sous licence disposent de plus de fonctionnalités que leurs homologues libres. Ce qui tendrait à justifier leur poids supérieur (bien que pas à ce point). Mais là je précise bien que ces softs disposent des mêmes fonctionnalités, obtenant à peu près les mêmes résultats.
Un soft sous licence qui, bien entendu, dispose strictement des mêmes fonctionnalités qu'un autre logiciel libre, pèsera toujours plus lourd, et bien souvent même anormalement lourd.
Note : ceci apportant donc son lot de travers :
- lenteur de téléchargement du logiciel
- lenteur et récurrences plus élevées des mises à jour
- lenteur d'exécution au démarrage
- risques de bugs plus élevés (more codes lines, more bugs)
- etc.
Pourquoi ?
Je pose ici la question aux développeurs aguerris qui ont déjà réalisé un soft digne de ce nom, GUI incluse, et qui ont pu comparer avec une équivalence en non libre, et, si possible, qui ont déjà travaillé dans une société d'édition de logiciels.
C'est bien souvent double ou triple, voire même décuplé (*10).
NOTE : Arrêtez ici la lecture si vous souhaitez donner votre avis AVANT d'avoir connu le mien. Ca pourrit biaiser le vôtre, ce qui ne serait pas très intéressant !
Selon moi, plusieurs raisons à cela :
- les softs sous licence sont développés par de multiples intervenants. Trop. Chaque soft est séparé en plusieurs équipes, elles-mêmes composées de dizaines de développeurs, ce qui fait qu'il y a de facto des mauvaises interprétations dans la lecture du code et donc des rafistolages hasardeux avec pour unique but : que ça fonctionne.
Note : je pense que cet argument est peu valable car il pourrait également s'adapter au dév en open source.
- la compétence moindre des développeurs sous licence. Ils ont leurs horaires de bureau, leurs salaires, ne vont pas chercher à se surpasser pour améliorer la qualité du code. Il peut y avoir également pas mal de stagiaires sur le coup ou de débutants.
Note : argument peu valable car il y en a beaucoup qui sont très bien payés et qui sont fort compétents. De plus, le contrôle des spécifications / contrôle qualité, est plus ferme que dans l'open source. Il y a donc des gardes-fous.
- les nombreux appels aux serveurs : afin de grappiller un maximum d'informations clients (à revendre à des fins publicitaires ou statistiques pour mieux cibler les utilisateurs), de nombreuses informations sont envoyées vers les serveurs de la société éditrice. Cela nécessite plus de code et n'est pas fait dans l'open source.
Note : cependant je ne vois pas en quoi des appels serveurs et des fichiers éclatés un peu partout dans l'arborescence système des utilisateurs pourraient peser tant que cela.
- la GUI est souvent de meilleure qualité : qui dit de meilleure qualité dit plus lourde.
Note : là je ne vois pas de réel contre-argument, cela dit, en général les softs sont composés de quelques pictos, je ne vois pas en quoi cela puisse radicalement (décupler) changer le poids du soft.
- la nécessité d'obfuscation : afin d'éviter de se faire cracker, ils obfusquent leur code. Quelle proportion tiennent les lignes de codes inutiles dans la globalité du logiciel sous licence ?
Note : 9/10e me paraît aberrant. Il est bien logique qu'ils fassent appel à ces techniques mais de là à ce que ça en arrive à décupler le poids ça me paraît contre-performant, surtout en sachant que les softs finissent toujours par être crackés, et ce souvent très très rapidement.
- DRM : idem que pour l'obfuscation, ça me paraît logique que les sociétés d'édition y fassent appel.
Note : mêmes arguments que pour l'obfuscation.
- etc.
Nota bene : bien souvent, les softs sous licence disposent de plus de fonctionnalités que leurs homologues libres. Ce qui tendrait à justifier leur poids supérieur (bien que pas à ce point). Mais là je précise bien que ces softs disposent des mêmes fonctionnalités, obtenant à peu près les mêmes résultats.
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